Vue depuis le pont neuf sur la pointe de l'ile marante.
A gauche on distingue une bande noire, qui est la digue de protection contre les inondations, qui céda le 29 janvier 1910.
Le jour de cette photo (en hiver)la seine est déjà en train de mouiller le haut des berges.
à comparer avec la vue précédente ou on voit les mêmes bouquets d'arbres sur la gauche.
Au fond du bras (au virage) on voit un poteau qui marque l'emplacement ou passe l'actuelle A86.
On poursuit le voyage sur ce bras de l'ile Marante.
on vient d'avancer de 50m,
on voit le premier bouquet d'arbres et la fin du quai en pierre.
La seine est basse.
Une péniche est garée le long de l'ile.
On est sur la berge devant les premiers arbres précédents
C'est l'hiver, l'eau à montée les arbres ont les pieds dans l'eau.
Il faut une planche pour monter dans la barque.
On se retourne et on voit le quartier qui fut créer autour de l'usine des eaux.
A droite on voit la première usine
(qui n'existe plus aujourd'hui)
Jusqu'à 2011 il y avait ici un parcours de VTT
Vue du pont neuf (car construit très récemment en 1895).
Le premier pilier que l'on voit s'appuie surement sur les restes de l'ile marante qui venait là encore en 1785.
Derrière le pont,à Argenteuil on aperçoit les usines de construction navales Claparèves qui produisait beaucoup de bateaux.
Au premier plan une barque cabine qui pourrait être celle qu'utilisait Monet pour se promener sur la seine pour faire ses tableaux.
Autre vue du pont neuf apres le premier bouquet d'arbres.
Derrière le pont on voit l'église basilique d'Argenteuil que Monet et Caillebotte ont reproduit sur des tableaux du bras de l'ile Marante.
L'usine Claparèves
C'est le printemps au premier plan une peigneuse (cardeur) de laine
On avance encore le long de la berge.
On avance encore maintenant on est au milieu du bras avant le tournant.
Les péniches viennent jusqu'ici se garer.
Une femme fait sa lessive et étend son linge dans le chemin de hallage.
On avance encore le long du chemin
Une vue bucolique que Caillebotte à déjà peint en 1888
Le bouquet d'arbustes se retrouve sur la vue suivante.
Voici par Gustave Caillebotte en 1964.
Une vingtaine de mêtres plus loin en direction du pont.
A droite on aperçoit encore les quatre cheminées de l'usine des eaux et la deuxième usine qui reste actuellement.
Tout droit le pont neuf et derrière l'église d'Argenteuil
Au premier plan le bouquet d'arbres de la vue précédente
Cet endroit du coude était une place très fréquentée avec vue sur les deux demis bras de Seine et ceci déjà depuis au moins l'époque des impressionnistes.
Même vue de cet endroit bucolique
On aperçois des barques cabines comme celle de Monet.
Même vue avec peut être un peintre qui cherche son inspiration.
Même vue l'hiver dans une période ou beaucoup de péniches se sont stationnées.
Nous voyons le même paysage que Monet et Caillebotte ont peint 3O ans avant.
Au fond les peuplier qui mènent à la ferme du moulin Joli.
On a dépassé le coude
Ce jour la beaucoup de péniches sont là
Sur la droite on voit les maisons qui bordent la rue Paul Bert et la rue Victoire,
et devant on voit la digue sur laquelle des gens se promènent..
Même vue de cet endroit dans un moment sans péniches.
Même vue de cet endroit actuellement.
On aperçoit la deuxième usine des eaux qui reste.
Pour le reste on ne penserait pas qu'à gauche il y avait la seine qui passait...
On poursuit l'avancée ...
On se dirige vers la ferme du moulin Joli.
On regarde vers le pont que l'on aperçoit plus, mais par dessus les arbres on voit l'église d'Argenteuil.
On est près de la digue qui passe à coté
Vue artistique du bord de l'eau avec les 4 cheminées dans l'axe.
On arrive enfin en vue de la ferme du moulin joli.
On en voit la grange parallèle à la rive
Cette grange se situe à l'emplacement actuel du terrain de tennis couvert de droite.
A gauche une rangée de peuplier que l'on voyait déjà sur les peinture de Caillebotte
Voici la ferme du moulin joli
Le nom de moulin joli à du rester du passé de Watelet mais ici il n'y as plus de moulin.
A gauche de la grange l'habitation principale.
L'habitation était situé à peu près sur le tennis de gauche
Voici la vue sur l'accès à la ferme du moulin joli.
Il n'y avait qu'un bac pour y aller de même pour accéder au reste de l'ile.
A droite l'habitation principale
au milieu le bac avec la famille des propriétaire
derrière à gauche une deuxième habitation à deux étages
Même vue avec la descente vers la seine.
Même vue avec le bac et son passeur à casquette.
A gauche des habitations sur l’île débutait un terrain boisé, alors qu'à la droite jusqu'au début de l'ile, c'était surtout des terrains de cultures et prairies.
Ce bac existait encore dans les années 50 comme le confirme le blog d'une ancienne Colombienne
"P'tite môman"
Voici la vue actuelle de l'emplacement du chemin qui menait à la ferme du moulin joli.
Nous avons pris le bac et nous nous trouvons sur la berge de l'ile et nous voyons la grange.
Derrière on voit le bâtiment des habitations.
Au fond une rangée de peuplier qui coupe l'ile en deux.
Toujours sur l'ile on est devant le bâtiment d'habitation et on voit le deuxième bâtiment à deux étages.
Comme c'est clôturé on peut penser que c'est une autre propriété.
On est au même endroit mais on a tourné son regard vers la droite et voici l'habitation de la ferme.
Derrière on voit la grange
Sur les ravines qui mènent aux habitations toute les familles sont là pour la photo.
Derrière on voit les prairies qui sur sur l'est de l'ile.
On va maintenant reprendre le bac pour la suite de la visite
Nous arrivons maintenant au bout de l'ile marante.
On est situé sur la piscine actuelle.
De l'autre coté on voit des usines d'Argenteuil
Nous voici arrivé au bout de l'actuel parc Lagravère
Ici aussi la Seine sert de transport,
les péniches débarquent leurs marchandises.
Depuis les années 20 le bras de l'ile Marante sert de décharge et se comblant petit à petit il ressemble à un égout glauque alors qu'il à vécu des heures magnifiquent
En 1964 on décide de le combler
Je suppose que la digue a servie pour le combler et en même temps on a rogné l'autre rive pour permettre une meuilleur navigation des transport en direction du port moderne de Genevilliers
L'arbuste (son successeur) que l'on voyait sur la vue 10 vit ses derniers instant...
A gauche le château d'eau qui servit pour alimenter les chaudières de l'usine des eaux pour évacuer les eaux d'égout vers Achères.
Sur le bord les péniches qui servaient surtout à amener le charbon pour alimenter les chaudières.
Les péniches stationnaient jusqu'à la moitié du bras.
Le bassement sous le château doit
(je pense) être encore celui qui reste actuellement.